Le pilote de 22 ans s'est retrouvé au centre d'une polémique au Grand Prix de Monaco, où il a terminé deuxième, derrière son coéquipier, Fernando Alonso. Après la course, la FIA avait ouvert une enquête sur les consignes d'équipe chez McLaren. Hamilton avait alimenté la controverse en disant aux journalistes qu'il savait qu'il était le pilote numéro deux.

Le pilote de 22 ans s'est retrouvé au centre d'une polémique au Grand Prix de Monaco, où il a terminé deuxième, derrière son coéquipier, Fernando Alonso. Après la course, la FIA avait ouvert une enquête sur les consignes d'équipe chez McLaren. Hamilton avait alimenté la controverse en disant aux journalistes qu'il savait qu'il était le pilote numéro deux.

Les conclusions des enquêteurs ont été favorables à McLaren et Hamilton assure maintenant qu'il n'a jamais douté que l'écurie anglaise, au sein de laquelle il a gravi les échelons du sport automobile, lui donne la chance de faire jeu égal avec Alonso.

«J'ai exactement la même voiture que Fernando. Les mécanos qui travaillent sur ma voiture sont fantastiques et aussi bons, sinon meilleurs, que ceux de Fernando. Je crois en eux. Tout le monde veut gagner au sein de cette équipe et personne n'est biaisé. (...) L'équipe me donne et donne à Fernando la voiture qu'il faut pour gagner. Ça va se jouer à la fin (de l'année), au profit de celui qui sera le plus constant et fera le moins d'erreurs.»