Rares sont les carpettes et tapis décoratifs le moindrement originaux dans les magasins. Il faut chercher longtemps avant de finalement toujours aboutir dans une grande surface. Mais entre le tapis persan et le paillasson, il y a un juste milieu.
Rares sont les carpettes et tapis décoratifs le moindrement originaux dans les magasins. Il faut chercher longtemps avant de finalement toujours aboutir dans une grande surface. Mais entre le tapis persan et le paillasson, il y a un juste milieu.
Les Espagnols font la pluie et le beau temps dans le monde du design de tapis. Après Nani Marquina voici que Gandia Blasco fait jaser. Cette compagnie de Valence réunit sous son toit plusieurs designers qui rivalisent d’imagination. José Gandia a dessiné plusieurs modèles, dont l’amusant Metro, réplique d’un mètre à mesurer géant.
Il se détaille 1695 $ chez Bonaldo, au 2 rue Le Royer, dans le Vieux-Montréal.
La famille colombienne Madonaldo, établie au Canada depuis cinq ans, se spécialise dans l’importation de produits en cuir de vache et en peau naturelle. Les tapis sont travaillés en patchwork ou laissés à l’état brut.
Sur la photo, le tapis «médaillon brun» fait un effet «boeuf». César Augusto Maldonado signale que les tailles et les modèles sont très variés.
Une carpette de huit pieds par cinq se vend 970 $. Coussins, poufs et ottomans aussi disponibles.
Beau produit que celui de François Palmer et Jean François Brosseau. Leurs carpettes décoratives contemporaines sont fabriquées à partir de retailles et de marchandise neuves récupérées.
Ces designers industriels proposent l’achat du tapis Ajusté (sic) par paquet de huit tuiles, de trois dimensions différentes. «La forme en angle permet de donner plusieurs configurations intéressantes selon l’espace disponible», explique François Palmer.
Pour un paquet de la collection haut de gamme, il faut débourser 995 $.
Photo fournie par Guanaco, produits décoratifs en peaux naturelles
Sur la photo, le tapis «médaillon brun» de Madonaldo.