C'est la conclusion à laquelle en sont arrivés les ingénieurs de GM et de Ford, à l'occasion d'une conférence sur les piles et les condensateurs d'automobiles, qui a eu lieu la semaine dernière en Californie.

C'est la conclusion à laquelle en sont arrivés les ingénieurs de GM et de Ford, à l'occasion d'une conférence sur les piles et les condensateurs d'automobiles, qui a eu lieu la semaine dernière en Californie.

«Les piles au lithium-ion rendront possible la mise en marché de véhicules hybrides à piles rechargeables, mais ça prendra encore du temps», a résumé Joe LoGrasso, ingénieur en chef de la motorisation électrique chez General Motors. «GM utilise un procédé d'évaluation multiphase qui peut durer au moins cinq ans, de l'évaluation de la technologie à la salle d'exposition des concessionnaires.»

GM et Ford ont aussi constaté que le prix du nickel, une composante importante des piles au nickel-métal hydrure (NiMH) présentement utilisées dans la technologie hybride, a monté en flèche ces derniers mois. Un autre facteur qui joue en faveur de la pile au lithium-ion, dont la composition ne dépend pas d'un nombre si restreint de métaux, selon ces constructeurs.