Cela passe par de singulières carrosseries comme celles de la Versa et de la Sentra, des véhicules intelligents et cadrant parfaitement à la cible du moment comme le futur Rogue ou, aussi, des coupés et cabriolets ludiques dont l’intérêt qu’ils suscitent est inversement proportionnel au niveau des ventes. Mais ce n’est certainement pas une raison de s’en passer et, en déficit d’image, Nissan a décidé de frapper de nouveau un grand coup avec un coupé aux prestations incroyablement élevées compte tenu du prix de vente : l’Altima Coupé.

Cela passe par de singulières carrosseries comme celles de la Versa et de la Sentra, des véhicules intelligents et cadrant parfaitement à la cible du moment comme le futur Rogue ou, aussi, des coupés et cabriolets ludiques dont l’intérêt qu’ils suscitent est inversement proportionnel au niveau des ventes. Mais ce n’est certainement pas une raison de s’en passer et, en déficit d’image, Nissan a décidé de frapper de nouveau un grand coup avec un coupé aux prestations incroyablement élevées compte tenu du prix de vente : l’Altima Coupé.

Révélation du dernier salon automobile de Los Angeles (le secret avait été bien gardé), l’Atlima Coupé n’a rien d’une berline amputée de deux portières. Original et stylisé, ses lignes uniques le démarquent nettement des autres coupés dérivés de berlines, par des proportions idéales. L’empattement, la longueur hors tout et la hauteur sont inférieures à celles de la berline éponyme. Et pour ajouter au caractère sportif de ce modèle, le poids est aussi inférieur à celui de la berline, ce qui lui permet d’afficher un rapport poids-puissance plus favorable. Comme la berline, le coupé sera proposé avec une mécanique à quatre (2,5 litres) ou à six cylindres (3,5 litres). Une boîte manuelle à six rapports se chargera de faire transiter la puissance aux roues avant motrices. Une transmission à variation continue (CVT) sera offerte moyennant supplément. Ce coupé entreprendra une carrière commerciale à l’été 2007.

Présentée lors du Mondial de Paris, la seconde génération de l’Audi TT succède à un modèle qui s’est révélé l’une des plus grandes réussites de la marque allemande. La nouvelle possède incontestablement une ligne qui devrait lui permettre de faire aussi bien, mais elle ne se satisfait pas de ces considérations esthétiques. Dans un marché on ne peut plus concurrentiel, la nouvelle TT se devait d’évoluer sur de nombreux points. Plus stable et surtout plus rapide que sa devancière, cette TT adopte un châssis partiellement réalisé en aluminium. Cela permet une réduction du poids tout en offrant un gain important en rigidité.

Autre nouveauté ce printemps : la Tiburon. Certes, le très populaire coupé du constructeur sud-coréen demeure techniquement le même, le renouvellement étant purement esthétique. Mais n’est-ce pas là la fonction première d’un coupé : être beau ?

Séduire les citadins ou les couples, voilà l’objectif que se fixe la C30 de Volvo. Pour parvenir à ses fins, le nouveau ticket d’entrée de la famille Volvo entend user de tous ses charmes, y compris en faisant vibrer notre corde nostalgique avec son hayon entièrement vitré, clin d’oeil à la P1800ES de 1971. Autre argument pour craquer pour elle : ses formes ont été dessinées par un Québécois (Simon Lamarre).

Succédant aux études SCC, 3CC et C30 Concept (Detroit 2006), la version définitive de cette compacte de la haute vise évidemment le beau linge de la catégorie (Audi A3, Mini Cooper). Sa diffusion sera, on s’en doute, limitée. Élaborée sur la base technique de la S40, la C30 est donc une traction (roues avant motrices) qui s’affirme sportive. Deux livrées s’offrent aux consommateurs : 2,4i et T5. Comment les distinguer L’une est suralimentée par turbocompresseur (T5), l’autre pas (2,4i).