La société, qui a requis la protection de la loi des arrangements avec les créanciers au début du mois, a reconnu que son avenir est incertain.

La société, qui a requis la protection de la loi des arrangements avec les créanciers au début du mois, a reconnu que son avenir est incertain.

La société de portefeuille Hollinger [[|ticker sym='T.HLG.C'|]] a déclaré mercredi un bénéfice net trimestriel de 7 M$, grâce à des gains de 14,7 M$ provenant d'opérations sur devises et de 6,7 M$ obtenus par la cession d'une propriété.

Hollinger avait subi une perte nette de 13,9 M$ un an plus tôt.

Au 30 juin dernier, la compagnie jadis contrôlée par Conrad Black affichait 152,6 M$ d'actifs et 235,5 millions $ de passif.

Hollinger a requis, le 1er août, la protection de la loi des arrangements avec les créanciers.

Le chiffre d'affaires était de 584 000 $, surtout grâce à la participation de 19,7 % dans Sun-Times Media, qui publie le quotidien Chicago Sun-Times. C'est un recul par rapport aux 1,8 M$ amassés par Hollinger au même moment en 2006.

Les dépenses des trois mois atteignaient 17,8 M$, ce qui inclut 7,6 M$ de frais juridiques, 3,3 M$ d'autres frais professionnels, 4,7 M$ de paiements d'interêt et 1,5 M$ en frais administratifs généraux.

Il en a résulté un déficit de 17,3 M$, avant les gains non-récurrents.

Hollinger, dont le nouveau PDG est Wesley Voorheis, a reconnu aussi que son avenir est incertain.

À la Bourse de Toronto, l'action était inchangée à 70 cents, comparé à 38 cents en avril et 2,25 $ il y a un an.

La dernière transaction remonte à vendredi et le volume de la journée demeurait à zéro, mercredi après-midi.