Les autorités de santé publique de Toronto ont trouvé une nouvelle utilisation au site Internet de réseautage Facebook: elles l'ont utilisé pour retracer une femme qui avait besoin d'être vaccinée contre la rage.

Les autorités de santé publique de Toronto ont trouvé une nouvelle utilisation au site Internet de réseautage Facebook: elles l'ont utilisé pour retracer une femme qui avait besoin d'être vaccinée contre la rage.

La directrice des communications du service de santé publique, Mary Margaret Crapper, a expliqué que les responsables du service avaient eu recours à toutes les méthodes traditionnelles, dont le bottin téléphonique, Google et la police, avant de se tourner vers Facebook.

Le service avait même diffusé un avis public dans les médias.

Une des collègues de Mme Crapper a alors décidé d'envoyer des messages à des femmes dont le nom ressemblaient à celle qu'il cherchait et ont finalement pu la retrouver en utilisant un surnom courant pour son prénom.