Le gardien des Bruins, l'un des deux Américains du club, n'a pas voulu être reçu par le président Barack Obama, qui a invité les Bruins pour les féliciter de leur conquête de la Coupe Stanley.

Plusieurs sources affirment que Thomas a refusé l'invitation par convictions politiques puisqu'il est Républicain.

"Je peux exiger d'un joueur qu'il participe à un événement d'équipe et le suspendre s'il refuse, mais je ne suspendrai pas Tim, a déclaré le DG Peter Chiarelli. Peu importe ses arguments, ils ne réflètent ni ceux des Bruins, ni les miens. Mais je ne le suspens pas."



Gros manque de jugement si vous voulez mon avis.

AJOUT: Les propos du chroniqueur du Boston Globe, Kevin Paul Dupont, résument bien ma pensée, Tim Thomas a manqué de jugement car il a plongé son organisation dans la controverse et qu'il a manqué de solidarité envers ses coéquipiers avec qui il a remporté la Coupe. L'histoire eut été différente s'il avait été invité sur une base personnelle.

"Shabby. Immature. Unprofessional. Self-centered. Bush league. Need I go on? All that and more applies to what Thomas did, on a day when Cup teammates Mark Recchi (now retired), Shane Hnidy (a radio guy these days in Winnipeg), and Tomas Kaberle (a member of some Original Six team in Canada), all gladly joined the red-white-blue-black-and-gold hugfest at the White House.

Thomas needed to be there in solidarity, and celebration, with his team. It was the same government yesterday, and will be today, that protected his country, his security, his family, and his right to make $5 million a year, all last season. In his absence, he stole his teammates' spotlight. Win as a team. Lose as a team. And when asked to stand up and take a bow, then stand up there and suffer if need be, even if you don't like the setting, the host, or any of the political trappings and tenets that come with it."