«Comme je l'ai toujours dit, Kimi (Räikkönen) mérite son titre de champion du monde des pilotes 2007, et ni moi ni personne chez McLaren-Mercedes n'avions l'intention de le lui prendre devant la justice. Ce n'était pas le but de l'appel interjeté par l'écurie. J'ai hâte de débuter la saison 2008», a indiqué le pilote britannique dans un communiqué publié par son écurie.

«Comme je l'ai toujours dit, Kimi (Räikkönen) mérite son titre de champion du monde des pilotes 2007, et ni moi ni personne chez McLaren-Mercedes n'avions l'intention de le lui prendre devant la justice. Ce n'était pas le but de l'appel interjeté par l'écurie. J'ai hâte de débuter la saison 2008», a indiqué le pilote britannique dans un communiqué publié par son écurie.

«Nous avons fait appel afin de clarifier le règlement, a rappelé Martin Whitmarsh, directeur exécutif de McLaren-Mercedes. Nous n'avons pas encore eu accès à la retranscription complète de la Fédération internationale de l'automobile (FIA) et nous espérons que cette clarification y est apportée», a précisé Whitmarsh.

«Nous espérons que le problème de température en course de l'essence dans les réservoirs (pour lequel McLaren-Mercedes a fait appel) ne restera pas sans solution l'année prochaine et nous voulons travailler avec la FIA et les autres écuries afin d'empêcher que cette situation ne se reproduise», a ajouté le directeur exécutif de McLaren-Mercedes.

Räikkönen avait gagné le Grand Prix du Brésil le 21 octobre à Sao Paulo pour remporter également la couronne mondiale. Lewis Hamilton (McLaren-Mercedes) avait terminé 7e et échoué à un point de Räikkönen au championnat. Mais les avocats de McLaren-Mercedes réclamaient l'exclusion de la Williams de Nico Rosberg et des BMW Sauber de Robert Kubica et Nick Heidfeld, respectivement 4e, 5e et 6e au Brésil.

La température en course de l'essence dans les réservoirs des Williams et des BMW Sauber avait été mesurée en dessous de la température autorisée. Les commissaires de course au Brésil avaient dans un premier temps refusé de leur infliger une pénalité estimant les mesures insuffisamment fiables.