Mauvaise conduite Le numéro que vous portez dans une équipe sportive : vos réponses

Le 10 sans aucune hésitation. Même au volleyball, c’était mon numéro. Il était extrêmement facile de s’identifier à Guy Lafleur, un homme parfaitement imparfait. Une des personnes les plus sympathiques et gentilles que j’ai rencontrées dans ma vie.

Mon seul chandail avec un numéro est le 13. Je jouais dans une équipe de hockey composée surtout de collègues anglophones, et ils n’avaient aucune idée qui pouvait être le Pierre Lambert que mon numéro voulait honorer.

Je n’ai pas de numéro attitré dans les ligues de ballon-balai dans lesquelles je joue. Par contre, lorsque je peux, je choisis le 79 en l’honneur d’Andrei Markov. Je suis défenseur et mon nom de famille est Marcotte, la pognez-vous ?

Je porte le numéro 20 en l’honneur de Paolo Rossi, meilleur buteur de la Coupe du monde de soccer de 1982. Cela fait bizarre d’écrire ceci alors que je suis portugais d’origine.

Le numéro 24 a toujours été mon numéro en l’honneur de Willie Mays, sans contredit le joueur le plus complet ayant foulé un terrain de baseball. Il pouvait frapper autant pour la puissance (660 circuits) que pour la moyenne (,301 en carrière). Ajoutez à cela sa vitesse (338 buts volés) et son excellence en défense (11 Gants d’or).

Je portais et porte encore le 69 au hockey. Évidemment, plusieurs y voient la position sexuelle, mais dans les faits, étant un gardien de but superstitieux, le 69 est le symbole du signe astrologique du cancer. Étant né le 14 juillet, ce symbole me porte chance… du moins, j’aime bien y croire !

Au baseball, j’étais receveur et je portais le numéro 5 pour mon idole Johnny Bench. Au hockey, je portais le numéro 7, car j’étais un partisan des Bruins et mon joueur préféré était Phil Esposito.

Dans mon équipe de soccer, c’est moi qui distribue les maillots. Je me garde toujours le 13. Ça me fait une excuse lorsque (souvent) je fais une gaffe qui coûte un but.

J’ai toujours porté le numéro 7 à cause de Mickey Mantle, des Yankees de New York. En revenant de l’école, on pouvait regarder les dernières manches de la Série mondiale et il me fascinait. Joueur rapide, agile défensivement, et il frappait avec puissance des deux côtés du marbre.

Mon numéro à la balle-molle pendant une vingtaine d’années a été le 44. Pour Reggie Jackson et Hank Aaron. Reggie pour le spectaculaire et Hank pour la stabilité.

En tant qu’économiste jouant au hockey, je voulais un numéro unique (comme moi). Étant donné que ce numéro n’existait pas, j’ai dû le confectionner moi-même. Ce numéro est π [pi].