Le bureau du procureur de Kharkiv a publié des images de restes de missiles et d'obus collectés afin d'être utilisés comme preuves judiciaires.

« Nous protégeons ces pièces parce qu'elles contiennent certains éléments de preuve - marquages et autres - qui nous permettent de remonter jusqu'à la Fédération de Russie pour certains types de munitions », explique Dmytro Tchoubenko, porte-parole du bureau du procureur de la région de Kharkiv.

« Il y en a plus de mille. Il y a aussi d'autres endroits où les restes, ceux qui ont déjà été mis en sécurité, sont stockés, ajoute-t-il. Les pièces qui contenaient des composants explosifs et qui présentaient un danger ont été dynamitées dans des endroits spécialement prévus à cet effet. »