«Des conditions dégradantes dans des ateliers misérables (sweatshop)» ou encore «Forcés à travailler des horaires épuisants». Ces deux messages découverts, la semaine dernière, sur des étiquettes à l'intérieur de vêtements de la marque irlandaise bon marché Primark, tout juste achetés par deux clientes, sont-ils des appels à l'aide de travailleurs du textile de Dacca ou encore un canular comme l'avance la compagnie de vêtements?

Vraie ou pas, «la nouvelle» a fait boule de neige sur les réseaux sociaux, propulsée par le hashtag #labelgate (scandale de l'étiquette), mais également dans les médias britanniques.

Ces SOS ont été découverts un peu plus d'un an après la tragédie du Rana Plaza, à Dacca, où environ 1200 Bangladais confectionnant des vêtements vendus sous diverses étiquettes occidentales (dont Primark) ont trouvé la mort dans l'effondrement de l'immeuble où ils travaillaient.

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