Mercredi, Molson Coors a invité les médias à découvrir sa brasserie de Longueuil, construite au coût de 525 millions. L’usine brassicole se démarque par l’automatisation des procédés et la minimisation, dans la mesure du possible, de son empreinte environnementale. Tour du propriétaire en photos.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Fred Landtmeters, patron de Molson Coors Canada, et Tim Crease, directeur général de la brasserie de Longueuil

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La brasserie est divisée en trois sections : le brassage, l’embouteillage et la distribution. Valérie Fraser, maître brasseuse de l’usine longueuilloise depuis septembre 2020, regarde par le hublot de la cuve de brassage où tous les ingrédients sont brassés et portés à ébullition. Le quart du personnel d’usine est féminin. À Longueuil, le premier brassin a été produit en août 2021. Une bière comme la Molson Export prend six heures à produire.

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L’usine de Longueuil brasse les bières pour le marché québécois essentiellement. Mais elle a aussi un mandat national pour des produits de spécialité comme les bières Mad Jack et Blue Moon. La brasserie compte 36 cuves de fermentation en acier inoxydable d’une capacité de 9 millions de litres et 16 cuves de maturation d’une capacité de 2 millions de litres.

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Les opérations de brassage sont suivies à la trace par le centre de contrôle pour assurer la qualité et l’homogénéité de la boisson.

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L’embouteilleuse tourne à 1000 bouteilles à la minute. Hautement automatisées, les opérations d’embouteillage et d’emballage requièrent les services d’un maximum de 15 travailleurs seulement par quart de travail pour trois chaînes de production : une pour la bouteille, une pour la canette et la dernière pour la bière en fût.

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Une des nouveautés de l’usine par rapport à celle du Vieux-Montréal est la présence d’une emballeuse automatique de fabrication allemande qui met en caisse les bouteilles en limitant au minimum les interventions humaines.

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La nouvelle brasserie compte 420 travailleurs, répartis moitié-moitié entre la production et la distribution.

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Le directeur principal de la distribution pour le marché du Québec, Maxime Couture. L’entrepôt est maintenant intégré à la brasserie. Le centre de distribution de la rue Dickson, à Montréal, fermera dans les prochaines semaines.

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Le centre de préparation de commandes du Grand Montréal, entièrement robotisé comme chez Amazon. Une palette entière composée d’un seul produit entre dans l’enclos pour se faire « dépalettiser » selon les besoins des clients. Une palette de produits dépareillés ressort de l’enclos en fonction de chacune des commandes.

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Les chariots élévateurs à fourche chargent les commandes par l’un des 20 quais de chargement destinés à l’expédition. Sept portes additionnelles peuvent recevoir des livraisons.