Ils ont longtemps été un symbole de réussite sociale. Un passage obligé dans le monde des affaires. Une société fermée. Mais les temps changent.

Ils ont longtemps été un symbole de réussite sociale. Un passage obligé dans le monde des affaires. Une société fermée. Mais les temps changent.

Les clubs de golf privés ne détiennent plus le gros bout du bâton. La situation n'est pas plus rose dans les clubs publics, qui doivent convaincre leurs clients de passer plus de temps sur les verts.

Jeff Fillion a longtemps fait des vagues à la radio. Pas étonnant qu'il ait baptisé son club de golf «La Tempête». L'ancien morning man de CHOI-FM à Québec croit que l'avenir de l'industrie du golf passe par les clubs haut de gamme.

La Presse vous présente, samedi, une entrevue avec Jeff Fillion et un portrait d'une industrie qui arrive difficilement à jouer la normale au plan financier.

Un dossier à lire dans La Presse de samedi 2 juin