Les Québécois ont signalé, cette année, un nombre record d'enfants battus à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) du Québec.

Pour cerner la problématique, La Presse a passé deux semaines au coeur de la clinique sociojuridique de l'hôpital Sainte-Justine, qui accueille les enfants qu'on croit avoir été victimes de maltraitance. Un accès privilégié qui a permis de rendre compte des drames familiaux qui naissent après les coups, mais aussi de toute l'expertise médicale déployée pour dépister les cas de sévices physiques.

Deux parents qui ont fait l'objet d'un signalement en abus physique ont aussi accepté de raconter leur histoire.

La directrice de la protection de la jeunesse de Montréal, Michelle Dionne, brosse quant à elle un portait complexe des causes qui expliquent ce triste record.



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