Le 31 juillet restera toujours une journée difficile pour Henri Provencher, le grand-père de Cédrika. Même si la dépouille de la fillette a été retrouvée en 2015, l’histoire n’a, à ses yeux, toujours pas de conclusion.

« C’est certain qu’on aimerait que ça se termine un jour ou l’autre. Tant que le responsable n’aura pas été traduit en justice, ce n’est pas fini. L’enquête se poursuit, mais c’est d’une lenteur abominable. Depuis qu’on a retrouvé son corps, c’est légèrement différent. On sait que la petite ne souffre plus. On ne saura probablement jamais combien de temps elle a souffert, mais maintenant, on sait qu’elle est en paix », mentionne-t-il.

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