Le prince William se serait inscrit au site de «réseautage» Facebook. Aux dernières nouvelles, il avait 45 «amis» avant de disparaître dans les méandres du cyberespace.

Le prince William se serait inscrit au site de «réseautage» Facebook. Aux dernières nouvelles, il avait 45 «amis» avant de disparaître dans les méandres du cyberespace.

Que fait le prince William entre deux entraînements militaires et ses sorties en boîtes de nuit depuis qu'il est célibataire? Selon les médias, il clavarde sur le site internet de «réseautage» virtuel Facebook.

Le second héritier en ligne pour la couronne britannique aurait-il cherché à reprendre contact avec de vieilles connaissances grâce à internet? C'est ce que croit le Daily Telegraph de Londres qui a publié hier un texte sur le «profil virtuel» du prince.

William se serait en effet inscrit au site de «réseautage» Facebook. Aux dernières nouvelles, il avait 45 «amis» avant de disparaître dans les méandres du cyberespace.

Naturellement, la nouvelle a attiré une foule de curieux - et de curieuses - qui ont tenté de contacter virtuellement le célibataire le plus célèbre du Royaume-Uni. Si bien que le profil intitulé «William Wales» a rapidement disparu du site Facebook au cours de la journée d'hier. Refusant de commenter, un porte-parole de Buckingham Palace s'est contenté de dire qu'il s'agissait «d'une question d'ordre privé».

Selon le Daily Mail, le prince aurait toutefois eu le temps de nouer des liens avec 45 amis, principalement d'anciens camarades d'université et des jeunes de la bonne société britannique. Parmi ceux-là, on retrouvait notamment Alexandra Aitken, la fille d'un ancien député conservateur, et Fergus Boyd, son ancien colocataire à l'époque où le prince commençait à fréquenter Kate Middleton. Cette dernière figurait d'ailleurs encore parmi la liste des amis du prince même s'ils se sont séparés le mois dernier.

D'après le Daily Mail, le prince aurait créé son profil la semaine dernière et aurait notamment envoyé un message dimanche dernier à «Charlie Brooksbank, un diplômé de l'Université d'Édimbourg, disant: Joyeux anniversaire! Tous mes voeux. W.» Le profil de William était toutefois programmé pour rester privé. Seuls ses «amis» pouvaient avoir accès à ses informations personnelles.

Le site de «réseautage» qui permet entre autres de clavarder, d'envoyer des photos et de former des groupes de discussions a connu une croissance exponentielle au cours des dernières années. Créé en février 2004 pour les étudiants de l'Université d'Harvard, Facebook s'est petit à petit ouvert à d'autres institutions scolaires, puis à tous.

Aujourd'hui, le site web comprend plus de 21 millions d'utilisateurs. Le site qui ne requiert qu'une adresse courriel pour s'inscrire se prête par contre facilement aux canulars. On dénombre d'ailleurs pas moins d'une dizaine de profils enregistrés au nom du prince William.

Le Daily Telegraph pense toutefois avoir déniché le bon William dans la mesure où la liste de ses amis - seul élément accessible à tous - comprenait effectivement des proches du prince.

«Potineurs» invétérés, les usagers du site ont évidemment créé un groupe de discussion sur la présence royale au sein de Facebook.

Bien que pionnier, William ne serait pas le premier membre de la famille royale britannique à s'inscrire à un site de «réseautage» virtuel. Avant lui, sa cousine, la princesse Eugenie de York, a déjà possédé un site MySpace. Quant à leur grand-mère, Élisabeth II, si elle ne «réseaute» pas encore virtuellement, on sait qu'elle affectionne particulièrement son iPod.