(Désolé pour les délais, problèmes avec les blogue de La Presse aujourd'hui)

"Il a été frappé, et il a eu des maux de tête. Nous avons peut-être réagi avec exagération, mais quand vous avez un athlète qui a subi des commotions cérébrales par le passé, vous ne voulez courir aucun risque. Il veut jouer, mais nous ne lui permettrons pas."

-Lou Lamoriello, DG des devils, à propos de son attaquant Ryan Clowe.

Non, Monsieur Lamoriello, on ne réagit jamais avec exagération lorsqu'il s'agit de coups à la tête qui donnent des maux de tête. C'est juste une question de gros bon sens. Tellement hâte qu'on adopte une politique claire et qu'on prenne des mesures pour mieux protéger les athlètes à court, moyen et long terme et que les dirigeants n'aient pas à déclarer au journalistes qu'ils ont peut-être été trop prudents dans le cas de joueurs qui subissent des commotions cérébrales à répétition. Le pire, c'est qu'on l'a laissé jouer après qu'il eut reçu ce coup de coude...