Depuis qu'il a été licencié, Raymond Schneider soutient qu'il est devenu un «gummy junkie», faisant une réserve de bonbons toutes les fois où il s'arrête à l'épicerie du coin.

«Le sucre me réconforte, soutient le New Yorkais de 33 ans. Il n'y a rien de plus stressant que cette insécurité financière qui grandit partout».La récession semble en effet avoir la dent sucrée. Alors que le taux de chômage augmente, les Américains, particulièrement les adultes, consomment de plus en plus de bonbons. Plusieurs fabricants de sucreries rapportent des hausses de leurs ventes et des profits surprenants. Cadbury notamment a eu une hausse de 30 % de ses profits en 2008 alors que Nestlé a connu une hausse de 10,9 %.

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