Et le Jeep Patriot ne craint pas la boue, surtout lorsqu’il est équipé de l’ensemble hors route Freedom Drive II homologué « Trail Rated ». Cet ensemble comprend un mode gamme basse offrant un rapport à forte démultiplication de 19:1 – le meilleur dans la catégorie –, de même qu’un système d’antipatinage, une capacité de passage à gué à une profondeur de 482,6 mm (19 po) et un limiteur de vitesse en descente. Bref, c’est du sérieux !

Et le Jeep Patriot ne craint pas la boue, surtout lorsqu’il est équipé de l’ensemble hors route Freedom Drive II homologué « Trail Rated ». Cet ensemble comprend un mode gamme basse offrant un rapport à forte démultiplication de 19:1 – le meilleur dans la catégorie –, de même qu’un système d’antipatinage, une capacité de passage à gué à une profondeur de 482,6 mm (19 po) et un limiteur de vitesse en descente. Bref, c’est du sérieux !

Chez Mitsubishi, on rénove, et c’est un Outlander tout neuf qui fait son entrée chez les concessionnaires au printemps. Plus enrobé qu’autrefois, l’Outlander propose désormais une troisième rangée de sièges. Offerte uniquement dans la version XLS, elle s’efface complètement dans le plancher, appuie-tête compris. Histoire de se démarquer de ses rivaux, le hayon de l’Outlander s’ouvre en deux parties, et la partie basse peut supporter un poids de 200 kg. De quoi faciliter le chargement d’objets lourds. Bien campé sur ses roues, l’Outlander invite à exploiter les 220 chevaux de son moteur six cylindres de 3 litres. Un moteur quatre cylindres (2,4 litres) sera également proposé d’ici un an. Mentionnons en terminant que le rouage intégral de l’Outlander comporte trois modes. Il est possible de choisir, à l’aide d’une molette située au pied de la console, entre deux roues motrices (avant), intégral à prise temporaire (une partie du couple est relayée aux roues arrière en cas de perte d’adhérence des roues avant) ou intégral à prise constante. Du trois en un.

Ford et Mazda rénovent aussi. Au printemps, c’est au tour du duo Escape/Tribute de passer sous le bistouri. Plus spacieux, plus performant, plus costaud et plus économique (à la pompe à tout le moins) ce duo d’utilitaires s’anime, de série, d’un moteur quatre cylindres de 2,3 litres produisant 153 chevaux et de 152 livres-pied de couple. La puissance est transmise par une boîte automatique à quatre rapports. Les versions les plus huppées adoptent le moteur V6 de 3 litres de 200 chevaux et 193 livres-pied de couple. Une version hybride (mi-essence, mi-électrique) est offerte pour ces deux modèles.

De son côté, Honda retouche l’Element. Une nouvelle version SC fait ainsi son entrée au catalogue des concessionnaires. Plus puissante (10 chevaux additionnels), plus basse grâce à des ressorts spécifiques, cette nouvelle version se distingue par ses jantes de 18 pouces, sa « calandre aérodynamique » (dixit Honda) et ses phares spécifiques.

Changement de philosophie

Suivant la politique de montée en gamme de Land Rover, le LR2 (ex-Freelander) revoit ses ambitions à la hausse. Il reprend bien quelques airs de famille du modèle à qui il succède, mais la ressemblance s’arrête là. En effet, tout a changé : les formes, les caractéristiques techniques et même la philosophie générale. Le penchant actuel du public pour les utilitaires plus routiers fait perdre au LR2 son côté loisirs-plein air, très en vogue dans les années 90. Ainsi, en temps normal, seules les roues avant seront motrices. Les roues arrière ne seront entraînées qu’en cas de perte d’adhérence. Sous le capot, le LR2 a droit au moteur six cylindres de 3,2 litres mis au point par Volvo (S80 et XC90).