Le Globe and Mail a choisi non pas un, mais trois PDG de l'année pour 2010. Parmi eux, Pierre Karl Péladeau.

Selon le quotidien de Toronto, il est un de ceux qui s'attaquent aux trois grands des télécommunications que sont Telus, Rogers et Bell.

«M. Péladeau est l'incarnation de la convergence», peut-on lire sous la plume du journaliste Iain Marlow. Une seule phrase dans tout le texte mentionne le lock-out au Journal de Montréal.

Le Globe ne voit visiblement pas cela comme une tache au dossier de M. Péladeau.