En tant que lieu de savoir et de recherche de calibre international, Polytechnique Montréal met au service des universités, des entreprises, des industries, des services publics et des villes toute son expertise et l’engagement de la communauté étudiante formant une relève de haut niveau, ses infrastructures à la fine pointe estimées à 500 millions de dollars, ainsi que son vaste écosystème collaboratif.

Voici quelques exemples de projets porteurs issus de collaborations fructueuses pour innover et surmonter les grands défis de la société québécoise… et de l’humanité tout entière.

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XTRA est une section qui regroupe des contenus promotionnels produits par ou pour des annonceurs.

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L’intelligence artificielle pour combattre le cancer

CRÉDIT : MIKE REDMOND

Samuel Kadoury, professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique Montréal

La Société canadienne du cancer estime à 22 200 le nombre de décès attribuables au cancer en 2022⁠1. Pourtant, avec les nombreux traitements pouvant être utilisés seuls ou combinés, dont la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie, une plus grande personnalisation des soins aurait-elle pu sauver des vies ?

En collaboration avec le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), une équipe a créé un algorithme visant à guider les soins d’oncologie offerts aux patients atteints de cancer de la tête et du cou. L’outil PreSANet a recours à l’intelligence artificielle pour évaluer le risque de récidive de métastase et l’indice de survie en fonction de multiples facteurs, dont le profil génétique des cellules cancéreuses, la taille et la forme de la tumeur, l’état de santé global de la personne, son âge, son sexe et ses résultats d’imagerie médicale.

« Avec ces informations, l’équipe clinique et le patient peuvent choisir un traitement de manière plus éclairée », explique Samuel Kadoury, professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique Montréal.

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Chaire UNESCO en électronique verte et soutenable

CRÉDIT : SARAH LATULIPPE

Clara Santato, professeure titulaire au Département de génie physique de Polytechnique Montréal

En la seule année de 2019, les humains ont généré quelque 53,6 millions de tonnes de déchets électroniques⁠2, soit l’équivalent de 350 navires de croisière. Moins de 18 % de ces déchets ont fait l’objet de recyclage ou de réutilisation des matériaux, tandis que les autres se sont retrouvés à contaminer le sol, l’eau et l’air.

C’est pour promouvoir des solutions innovantes et pragmatiques à ce problème que Polytechnique Montréal accueille la Chaire UNESCO en électronique verte et soutenable (ÉleVéS). « Cette chaire vise à influencer nos pratiques et notre façon de gérer les appareils électroniques d’un bout à l’autre de leur cycle de vie », résume Clara Santato, professeure titulaire au Département de génie physique et responsable du projet.

ÉleVés offre du soutien à une variété de projets de recherche et d’innovation, dont la conception de supercondensateurs à partir de biomasse ou de déchets organiques et l’élaboration des mesures d’amélioration de l’impact environnemental des processus miniers urbains pour la récupération de métaux précieux.

En savoir plus sur la Chaire UNESCO en électronique verte et soutenable

Institut multidisciplinaire en cybersécurité et cyberrésilience

Frédéric Cuppens, directeur de l’IMC⁠2, expert en cybersécurité et professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique Montréal

Les cyberattaques et autres piratages informatiques font les manchettes tous les jours. Pour aborder les enjeux sociétaux liés à la cybersécurité, qui touchent autant les PME que les grandes entreprises, autant la population que les services publics, il faut un haut niveau d’expertise et de collaboration.

C’est ce qui amène Polytechnique Montréal, de concert avec l’Université de Montréal et HEC Montréal, à créer l’Institut multidisciplinaire en cybersécurité et cyberrésilience (IMC⁠2), lequel aspire à contribuer au développement d’une société cyberrésiliente en devenant une référence universitaire mondiale sur ces sujets. S’appuyant sur un bassin initial d’une quarantaine de professeures et professeurs et de leurs équipes de recherches, l’IMC⁠2 fournit aux gouvernements, au grand public et aux entreprises du Québec et du Canada une expertise de premier plan par ses activités de recherche, la formation d’une relève aux compétences pertinentes, l’innovation et le partage de connaissances, ainsi que son soutien en matière de politiques publiques.

« En créant cette structure ouverte qui a pour vocation de rallier l’ensemble des acteurs universitaires motivés par des projets multidisciplinaires ambitieux et innovants, l’IMC⁠2 se positionne comme un point de convergence incontournable de la cybersécurité au pays », affirme le professeur Frédéric Cuppens, directeur de l’IMC⁠2, expert en cybersécurité et professeur titulaire au Département de génie informatique et génie logiciel de Polytechnique Montréal.

Visitez le site Web de IMC⁠2

La recherche et la collaboration en chiffres

Près de 50 % de la recherche réalisée à Polytechnique Montréal se fait en collaboration avec l’industrie.

En 2022, Polytechnique Montréal a collaboré avec près de 1000 partenaires industriels, dont des villes, des organismes publics, des PME, de grandes sociétés et des multinationales

Les projets industriels réalisés à l’international entre 2015 et 2021 totalisent une valeur de plus de 53 millions.

1Statistiques sur le cancer au Québec en 2022

253 millions de tonnes de déchets électroniques en 2019, Institut numérique responsable, 2020