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La Virée du printemps bat son plein

La Virée du printemps se tient jusqu’au 29 mai. C’est l’occasion de rencontrer les artisans et designers de mode de la rue Parthenais qui ouvrent les portes de leurs ateliers pour des expos-ventes, le temps d’un week-end. Plus d’une centaine de créateurs donnent ainsi accès à leur lieu de travail, dans trois immeubles – l’Usine Grover, le Chat des artistes et la coopérative d’habitations d’artistes Lezarts. On retrouve, par exemple, la marque Annie 50, la joaillière Véronique Roy, ou encore les céramistes Valérie Pelletier et Roxane Charest.

« Avoir la chance de rencontrer les designers et artisans, après deux ans de pandémie, c’est formidable, car chaque objet a une histoire qui mérite d’être racontée. C’est un monde de découvertes qui s’ouvre à nous et je serai là pour vous faire connaître des secrets trop bien gardés ! », lance le créateur de mode Jean-Claude Poitras, porte-parole de l’évènement.

Pour le designer, le décloisonnement des disciplines artistiques et culturelles est d’une importance capitale. « L’idée de la cocréation m’enchante depuis longtemps, c’est un enrichissement extraordinaire de pouvoir collaborer avec d’autres artistes, explique-t-il en entrevue. J’aime cette idée de créer des passerelles entre les différentes disciplines artistiques, le cinéma, l’architecture, la mode, les métiers d’art. Ce nouvel esprit de collaboration n’existait pas à mon époque, nous étions tous des individualistes. On ne voulait surtout pas partager nos références, alors qu’aujourd’hui, il y a cette envie de partager. »

« Je fête mes 50 ans de création cette année et ce besoin de partager et de transmettre est plus fort que jamais, poursuit-il. J’ai envie de redonner à la jeunesse et de faire rayonner la créativité du Québec à travers le monde. Il y a une fierté de mettre en valeur notre créativité et de porter le style typique du Québec. C’est ce qui nous distingue, en mode en tout cas. »

Consultez le site de la Virée du printemps

Une plateforme de revente pour Souris Mini

PHOTO FOURNIE PAR SOURIS MINI

Des vêtements de la marque québécoise de vêtements pour enfants Souris Mini

L’entreprise québécoise de vêtements pour enfants Souris Mini lance sa plateforme de revente de vêtements de seconde main. Cette plateforme, destinée aux parents vendeurs et acheteurs, est une façon de donner une deuxième vie aux vêtements de Souris Mini, fondée en 1989. « On a toujours misé sur la créativité et la qualité depuis plus de 30 ans. Nos vêtements sont indémodables. On propose des collections complètes pour les enfants de 0 à 12 ans, il y a des maillots de bain, des robes, des pantalons, des chandails, des manteaux, des habits de neige. On habille les enfants de la tête aux pieds », souligne la fondatrice, propriétaire et designer de Souris Mini, Annie Bellavance. Cette dernière a toujours eu la volonté de placer l’environnement au premier plan. « Les vêtements sont durables, d’où l’intérêt de la revente. Une belle communauté s’est créée au fil des ans et nos clients sont fidèles. Toute l’équipe est fière de cette nouvelle plateforme, et moi, je suis toujours aussi passionnée par mon métier comme si c’était le premier jour ! »

Consultez le site de Souris Mini

La boutique Bagages de France célèbre son 15e anniversaire

  • Le célèbre sac Pliage de Longchamp


    PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE LONGCHAMP

    Le célèbre sac Pliage de Longchamp

  • Le panier Paris Saint-Tropez, 255 $

    PHOTO TIRÉE DU SITE DE BAGAGES DE FRANCE

    Le panier Paris Saint-Tropez, 255 $

  • Le sac Pliage Filet porté par Emily dans la série Emily in Paris, 145 $

    PHOTO FOURNIE PAR BAGAGES DE FRANCE

    Le sac Pliage Filet porté par Emily dans la série Emily in Paris, 145 $

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La boutique Bagages de France célèbre cette semaine son 15e anniversaire. Située rue Saint-Louis, dans le quartier historique du Vieux-Québec, la boutique vend des sacs à main, accessoires et bagages souples de la marque française Longchamp. La propriétaire Sheila Morgan a eu un coup de cœur pour la marque. « Je suis allée à Paris rencontrer la famille Cassegrain, qui a fondé Longchamp en 1948 et qui est toujours propriétaire de la marque. C’est la quatrième génération qui est aux commandes. Cette famille est formidable, je la vois chaque année, pour la présentation des nouvelles collections », explique-t-elle. « Longchamp, pour moi, c’est le luxe abordable. »

Le sac emblématique de la marque, aussi celui qui se vend le plus, est le Pliage créé en 1993 par Philippe Cassegrain. Plus de 30 millions de sacs Pliage ont été vendus dans le monde depuis. Inspiré par l’art japonais de l’origami, le sac, comme son nom l’indique, peut être plié et déplié à volonté. Le modèle original est en nylon, mais il se décline maintenant en toutes sortes de matières, de tailles et de couleurs. « Il y a des sacs Pliage en cuir, il y a aussi le Pliage Filet qui obtient un grand succès, car il a été porté en couleur citron par Emily dans la série de Netflix Emily in Paris ! », souligne Sheila Morgan. Elle ajoute que la marque a évolué « et présente aussi d’autres modèles, comme le panier Paris Saint-Tropez inspiré du sud de la France, ou encore des sacs à dos et modèles plus chics ».

Consultez le site de Bagages de France