D'ici là, les élus du Congrès devront donc relever le plafond de la dette, actuellement à 16 700 milliards de dollars, faute de quoi les États-Unis seraient considérés comme des «mauvais payeurs», pour emprunter l'expression de Barack Obama, et s'exposeraient à un choc financier qui nuirait à une économie toujours convalescente.

Comme ils le font ces jours-ci dans le bras de fer budgétaire susceptible de mener à la paralysie partielle de l'État fédéral mardi, les républicains veulent profiter de l'échéance sur la date pour s'attaquer à la réforme de santé du président. Ils entendent notamment poser comme condition au relèvement du plafond de la dette le report à 2015 de l'application de l'Obamacare.