Michelle Obama s'est jointe hier à la campagne virale #BringOurGirlsBack sur Twitter demandant la libération des centaines de étudiantes nigérianes kidnappées par les islamistes de Boko Haram.

L'initiative de la première dame des États-Unis a plu au New York Post, qui participe à sa façon à la mobilisation internationale pour les otages au moment où les violences de Boko Haram semblent augmenter. Des centaines de personnes ont été tuées dans un nouveau massacre dans le nord-est du Nigeria, où les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne vont aider les autorités à retrouver les quelque 200 adolescentes enlevées mi-avril par le groupe islamiste.

Le New York Times explique dans cet article que les tactiques de Boko Haram soulèvent l'opposition au sein même du mouvement djihadiste.