Chery et Chrysler poursuivent également des négociations pour raffermir leurs liens touchant un modèle unique, projet annoncé en décembre dernier. Ce projet comprendrait maintenant davantage de véhicules et de pièces, selon des personnes au courant du dossier qui ont requis l'anonymat parce que ces propositions ne sont pas du domaine public. DaimlerChrysler, qui a fait connaître son partenariat avec Chery hier, tient aussi d'autres discussions avec des acheteurs potentiels intéressés à Chrysler, sa division américaine non rentable.

Chery et Chrysler poursuivent également des négociations pour raffermir leurs liens touchant un modèle unique, projet annoncé en décembre dernier. Ce projet comprendrait maintenant davantage de véhicules et de pièces, selon des personnes au courant du dossier qui ont requis l'anonymat parce que ces propositions ne sont pas du domaine public. DaimlerChrysler, qui a fait connaître son partenariat avec Chery hier, tient aussi d'autres discussions avec des acheteurs potentiels intéressés à Chrysler, sa division américaine non rentable.

Ainsi, Chrysler tente d'ajouter à sa gamme de produits des véhicules moins chers et plus économiques pour stopper la glissade de ses ventes aux États-Unis. En décembre dernier, il a accepté d'acheter de petites voitures de Chery. Chrysler raffermit ses liens avec la Chine, liens qui remontent à l'acquisition d'American Motors, en 1987, partie prenante de la première coentreprise étrangère à s'établir dans le pays le plus populeux du monde.

«Chrysler doit prendre davantage pied sur le marché chinois pour profiter des faibles coûts dans ce pays», soutient Li Chunbo, analyste de Citic Securities, à Pékin. «Pour être concurrentiels mondialement, tous les constructeurs d'automobiles devront tirer parti des faibles coûts de production en Chine et aussi du marché intérieur de plus en plus important», ajoute l'analyste.

Hier, les actions américaines de DaimlerChrysler cédaient 3,27$US, à 67,30$US, à la Bourse de New York.