(Toronto) Toronto fait partie des sept villes du monde les plus exposées à un risque de bulle immobilière résidentielle, selon la firme de services financiers UBS.

Dans le classement de l’institution établie en Suisse, la métropole canadienne s’est classée derrière Francfort et Munich, en Allemagne. Le rapport d’UBS évalue 25 villes à travers le monde, les classant en quatre catégories : risque de bulle, surévalué, juste et sous-évalué.

Toronto est dans la catégorie du risque de bulle pour la troisième année consécutive, dépassant Hong Kong, Paris et Amsterdam. Le marché immobilier de Vancouver s’est quant à lui apaisé, mais il se trouve toujours surévalué, d’après la firme.

New York, San Francisco et Sydney, en Australie, figurent parmi les marchés surévalués. À Boston, Singapour et Dubaï, l’évaluation est adéquate alors que le marché de Chicago était considéré comme sous-évalué.