« Ce n’est pas parce qu’un témoin est crédible qu’il est fiable », a plaidé l’avocat du présumé proxénète Romuald-Andy Aman, que les plaignantes surnomment « Bossley ».

La fiabilité des victimes a été remise en doute pendant les plaidoiries, entendues par la juge Annie Trudel vendredi. Me Gabriel Michaud-Brière a noté tous les moindres détails « flous » des témoignages des deux plaignantes dans le dossier de son client. Aman subit son procès pour des gestes reprochés en 2016. On l’accuse d’avoir obligé deux adolescentes de 17 ans à se prostituer pendant une dizaine de jours alors qu’elles étaient en fugue.

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