L’équipe de la Vallée du Bras-du-Nord n’avait jamais arrêté de chercher Pavel Brzezinski, le cycliste perdu puis retrouvé mort 15 jours plus tard. « J’étais obsédé par ça. On le faisait pour sa mère, pour la famille. C’est dans nos valeurs. »
Le directeur général de la Vallée du Bras-du-Nord, Frédéric Asselin, aurait aimé un autre dénouement. Plus les jours passaient, plus l’espoir de retrouver Pavel vivant s’éteignait.
Lisez la suite de l’article sur le site du Soleil