« Les pompiers se disaient à ce point convaincus que c’était un mannequin en silicone qu’ils n’ont clairement jamais pris les signes vitaux de ma conjointe avant de la mettre dans un sac en plastique et de la laisser dans un conteneur. Je ne suis même pas en mesure de savoir si ma femme aurait pu être sauvée. »

Le conjoint de la femme confondue avec un mannequin en silicone par les autorités à Sherbrooke est assis à quelques mètres de l’endroit où s’est déroulée la tragédie. Malgré l’horreur, la peine et l’incompréhension, une semaine plus tard, il raconte son histoire à La Tribune.

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