«S'il refait la même saison l'an prochain que celle qu'il vient de terminer, alors c'est sûr qu'il aura un gros impact. Cela aura un effet négatif car nous aurons un nouvel effet Schumacher où les gens se plaindront et me demanderont de faire quelque chose pour le ralentir», a expliqué Max Mosley.

«S'il refait la même saison l'an prochain que celle qu'il vient de terminer, alors c'est sûr qu'il aura un gros impact. Cela aura un effet négatif car nous aurons un nouvel effet Schumacher où les gens se plaindront et me demanderont de faire quelque chose pour le ralentir», a expliqué Max Mosley.

L'Anglais a tenu à atténuer l'influence d'Hamilton sur la F1 et contredire ceux qui évoquent une renaissance de la discipline grâce au jeune prodige.

«Il a beaucoup aidé (la F1) en Grande Bretagne et a attiré l'intérêt du monde entier parce qu'il vient d'une famille modeste et qu'il a réussi. Mais il y a toujours des nouveaux. Si ce n'était pas lui, Nico Rosberg, Robert Kubica ou Sébastien Vettel seraient les nouvelles stars. Il y a une tendance à exagérer l'importance de Lewis Hamilton», a estimé le patron de la FIA.

Enfin M. Mosley a confié qu'il était «très improbable» que la commission d'appel de la FIA, qui se réunira le 15 novembre après la réclamation et l'appel de McLaren sur l'essence utilisée par les Williams et les BMW pendant le Grand prix du Brésil, change le résultat final de la course et que Hamilton soit couronné au championnat du monde à la place du Finlandais Kimi Raikonnen (Ferrari).