Les femmes de chambre à l'emploi des hôtels Pierre et Sofitel à New York seront désormais munies de boutons paniques pour appeler à l'aide en cas d'agression sexuelle, peut-on lire dans cet article du Wall Street Journal.

La décision fait suite aux accusations portées par des femmes de chambre de ces hôtels contre l'ancien président du FMI Dominique Strauss-Kahn et l'homme d'affaires égyptien Mahmoud Abdel Salam Omar.

S'il n'en tient qu'au syndicat représentant les femmes de chambre de New York, tous les hôtels de la ville suivront l'exemple du Pierre et du Sofitel.