«Durant les trois premiers jours du test, la qualité de l'air a fait de réels progrès et cela devrait être la même chose pour le dernier jour», a déclaré à la presse Du Shaozhong, vice-directeur du Bureau de la protection de l'environnement.

«Durant les trois premiers jours du test, la qualité de l'air a fait de réels progrès et cela devrait être la même chose pour le dernier jour», a déclaré à la presse Du Shaozhong, vice-directeur du Bureau de la protection de l'environnement.

De vendredi à lundi, plus d'un million de voitures se sont vu interdire les rues de Pékin dans le cadre d'une expérience de circulation alternée qui devrait être renouvelée, si concluante, pendant les jeux Olympiques de l'été prochain.

Le test visait à améliorer la qualité de l'air de la capitale, généralement plombé par la pollution, grave sujet de préoccupation pour le monde sportif.

Les autorités de la ville assurent que les principales particules polluantes ont été réduites depuis vendredi, selon les premières analyses qui demandent à être confirmées.

La circulation a effectivement été plus fluide durant quatre jours mais la visibilité due à la pollution est restée faible et le ciel était nettement moins bleu que la semaine précédente quand les automobiles étaient pourtant plus nombreuses.

Le président du CIO, Jacques Rogge, a rappelé récemment que la pollution à Pékin demeurait le principal sujet d'inquiétude, envisageant même que les épreuves d'endurance puissent être reportées en cas de pic de pollution.