Sabrine Djermane et El Mahdi Jamali, reconnus non coupables de terrorisme en décembre dernier, ont prématurément mis un terme à leur contrat qui les liait au Centre de prévention de la radicalisation menant à la violence, selon Radio-Canada.

Les propos tenus par le directeur du Centre seraient à l'origine de cette désaffiliation. Selon ce que rapporte Radio-Canada, Herman Deparice-Okomba aurait associé le couple à des «personnes radicalisées».

Le contrat de consultants de Sabrine Djermane et de El Mahdi Jamali devait être d'une durée de trois mois.