Des junkies en manque d'héroïne ont développé une nouvelle pratique pour assouvir leur manque. Ces accros de drogues s'injectent délibérément le sang d'autres héroïnomanes pour partager l'effet d'euphorie.

La pratique n'est pas si courante, mais elle a tout de même été rapportée à Mombasa, au Kenya, à Dar es Salaam et sur l'île de Zanzibar, en Tanzanie.

Dans ce pays de l'Afrique de l'Est, 3 à 8% de la population est atteinte d'une infection. Chez les héroïnomanes, ce taux grimpe à 42%.

Pour en savoir plus, lisez l'article sur le site du New York Times

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