If they fuck with me or Shaha, I have enough on them to fuck them too. Ce n'est pas la réplique d'un personnage des Soprano. Selon le journal britannique The Guardian, c'est Paul Wolfowitz qui a prononcé ces gros mots, après avoir appris que des membres du personnel de la Banque mondiale s'apprêtaient à divulguer les détails de ses faveurs à sa compagne Shaha Riza. On peut lire ici l'article du Guardian.

Dans un rapport rendu public lundi soir, un comité d'éthique a conclu que Wolfowitz avait violé plusieurs articles du règlement en accordant promotion et augmentation à Riza. Malgré ce verdict, le président de la Banque mondiale conserve l'appui de la Maison-Blanche.

(Photo AFP)