La bonne : Donald Trump a amassé 1 239 délégués, soit un de plus que la majorité nécessaire à l'investiture du Parti républicain pour l'élection présidentielle, selon le décompte de l'Associated Press.

La mauvaise : le candidat républicain accuse un retard de sept points de pourcentage sur Hillary Clinton selon un sondage mené par Bloomberg Politics auprès des électeurs de trois États clés du Midwest - Pennsylvanie, Ohio et Michigan - dont le revenu annuel se situe entre 30 000$ et 70 000$. Il s'agit d'une tranche de l'électorat que Trump doit dominer pour espérer être élu à la Maison-Blanche.

La bonne et la mauvaise nouvelle sont intervenues lors d'une journée où Trump a présenté un plan énergétique faisant la part belle aux énergies fossiles liées aux émissions de gaz à effet de serre et abrogeant les règles environnementales mises en place par Barack Obama.

Trump a promis en outre d'«annuler» l'accord de Paris sur le climat et de relancer le projet Keystone XL rejeté par l'administration Obama.