C'est pas sa faute. S'il a été forcé de démissionner de son poste à la tête de la Banque mondiale, c'est à cause des médias et de l'institution internationale elle-même, qui ont surchauffé l'atmophère. Paul Wolfowitz s'est ainsi disculpé dans une entrevue à la BBC. Que ce soit sur l'Irak ou sur ce sujet, l'ancien numéro deux du Pentagone refuse d'accepter sa part de blâme.