Colère contre les élites politiques et financières. Anxiété alimentée par le sentiment d'une perte de souveraineté nationale. Ressentiment à l'égard des migrants et des réfugiés. Ces thèmes ont pesé sur le résultat du référendum qui a mené les Britanniques à voter pour une sortie de l'Union européenne. Et ils joueront sur la campagne présidentielle américaine. Est-ce à dire qu'ils mèneront aussi à la victoire du candidat qui les exploite le mieux aux États-Unis, à savoir Donald Trump?

Voilà le débat auquel j'invite les lecteurs de ce blogue à participer gentiment. Pour alimenter leur réflexion, je les invite à lire ces articles du Washington Post, du New York Times et de l'Investor's Business Daily et de la BBC.

Bien sûr, la une du New York Post parle d'elle même aujourd'hui...