Les touristes sont de plus en plus nombreux à visiter les bidonvilles que ce soit en Afrique, en Asie ou en Amérique latine. Les Nairobi, Bombay et Rio de Janeiro sont devenus des haut-lieux du tourisme de la misère.

Si certains avancent que ce tourisme de la pauvreté est vecteur de bienfaits -prise de conscience des injustices sociales, injection de ressources financières stimulant l'économie locale-, pour plusieurs ces tours guidés des bidonvilles relèvent d'un voyeurisme malsain, transformant ainsi la pauvreté en spectacle.

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