Après s'être penché dimanche sur l'élection de Stéphane Dion à la tête du PLC, le Washington Post s'intéresse aujourd'hui aux jurons québécois dans cet article. Y a-t-il un lien entre les deux sujets?L'auteur de l'article, Doug Struck, note que le mot fuck, interdit dans les médias anglo-saxons, apparaît souvent dans ceux du Québec, alors que les jurons à connotation religieuse comme hostie, tabernacle et ciboire y sont bannis. Vraiment?

P.S.: La censure qui s'applique automatiquement sur certains mots dans les commentaires de ce blogue est pour le moins ironique. Je m'en excuse à moitié.