Les investisseurs vont espérer en apprendre suffisamment sur la situation en Europe au cours de la prochaine semaine pour leur permettre de mieux gérer leurs attentes.

Un plan solide pourrait servir de moteur pour faire avancer les indices pour le reste de l'année. L'inverse a le potentiel pour placer la Bourse sous pression.

«La question est de savoir si une semaine et demi (avant le sommet du G20 le 3 novembre) est suffisante pour donner aux décideurs le temps dont ils ont besoin pour solidifier les fondations de leur fragile union, limiter la nervosité des marchés et diminuer les risques de contagion», dit Peter Buchanan, de la CIBC.

Si le plan d'avoir un plan se concrétise, l'exécution de la stratégie pourrait s'étirer sur plusieurs mois compte tenu de la structure de la zone euro et certains investisseurs pourraient se décourager en réalisant ce qui doit être fait.

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