Fraîchement débarqué dans l'univers de Twitter, le président français Nicolas Sarkozy croyait bien suivre le premier ministre italien quand il s'est abonné au compte de Mario Ponti, mais il s'est plutôt retrouvé à suivre un imposteur.

Tout a commencé avec un «tweet» sur le profil de Mario Monti, où comme la chancelière allemande Angela Merkel et le premier ministre britannique David Cameron, le président du Conseil italien apportait son soutien à Nicolas Sarkozy en vue de la présidentielle dont le premier tour est prévu pour le 22 avril. La ministre française de la Formation professionnelle Nadine Morano a alors «retweeté» à M. Sarkozy l'appui du premier ministre italien. L'équipe du président a par la suite décidé de suivre M. Monti. Le hic, c'est que le premier ministre Monti n'a toujours pas de compte Twitter.

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