L'ancien stratège de George W. Bush explique ici comment Hillary Clinton a remporté la primaire démocrate du New Hampshire. Il profite de l'occasion pour brosser un portrait très peu flatteur de Barack Obama, qui ne serait pas seulement arrogant mais également paresseux. Je cite ce passage parmi d'autres de la même eau :

He is often lazy, given to misstatements and exagerations and, when he doesn't know the answer, too ready to try to bluff his way through.

Rove accole à Obama cette épithète chargée - paresseux - sans donner d'explications.