Le Groupe de Lima a réitéré lundi son appel au président vénézuélien Nicolas Maduro à quitter le pouvoir, mais a écarté l'« usage de la force » comme solution à la crise politico-économique dans laquelle s'enfonce l'ancienne puissance pétrolière.

Les 14 pays membres du Groupe de Lima « réitèrent leur conviction que la transition vers la démocratie doit être menée par les Vénézuéliens eux-mêmes pacifiquement, ainsi que dans le cadre de la Constitution et du droit international, soutenu par des moyens politiques et diplomatiques, sans usage de la force », selon la déclaration émise à l'issue de leur réunion à Bogota.

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L'opposant Juan Guaidó à son arrivée à Bogota, le 24 février