«Nous n'avons pas vocation à être la poubelle de Trierweiler et de Hollande». Si le brûlot de l'ex-première dame est sans contredit le livre qui se vend à l'heure actuelle sur l'Hexagone - Merci pour ce moment ayant même été en rupture de stock dans les librairies françaises, vendredi - un mouvement de fronde s'est en contrepartie fait sentir cette fin de semaine au sein du monde des libraires qui ont utilisé les réseaux sociaux pour faire part de leur refus du règlement de compte littéraire de la journaliste de Paris Match.

«Désolé, nous n'avons plus le livre de Valérie Trierweiler, mais il nous reste des ouvrages de Balzac, Dumas, Maupassant», ironise un marchant de livres sur Instagram, où 20 000 personnes ont partagé une photo diffusée par un libraire breton sur laquelle on voit un écriteau placé derrière le comptoir stipulant «nous n'avons pas le livre de Trierweiler».

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