Un salaire en dessous du salaire minimum. Des amendes si elles prennent quelques livres en trop ou oublient d'amener leurs pompons à une pratique. Interdiction de parler de leurs conditions de travail à la presse. En janvier, Lacy T., une meneuse de claque des Raiders d'Oakland de la NFL, a entrepris une action en justice contre son employeur pour dénoncer les conditions de travail abjectes auxquelles sont soumises «les Raiderettes».

Depuis, plusieurs «pom-poms girls» de la ligue nationale de football ont emboîté le pas trainant en justice les Bengals de Cincinnati, les Jets de New York et les Bills de Buffalo.

La semaine dernière, les Raiderettes ont pu savourer une petite victoire. Elles toucheront désormais le salaire minimum, soit 9 $ de l'heure.

À lire sur motherjones.com (en anglais)