Le Washington Post publie aujourd'hui en page A10 cet articlesur la saga de Myriam Bédard, résumant la «chute mystérieuse» de la championne olympique pour des lecteurs qui ne la connaissent pas. Tout semble conforme à la réalité, sauf le nom de famille de l'éditorialiste en chef de La Presse, André Pratte, qui a été amputé de sa dernière lettre.On trouve dans le texte du correspondant du Post au Canada cette citation de l'avocat montréalais John T. Pepper jr, à propos de sa cliente : «Les gens pensent qu'elle est folle. Elle ne l'est pas. Elle est une personne très déterminée et très organisée qui s'occupe de sa fille du mieux qu'elle peut.»