Tout ça pour dire que Zuckerman fait l'objet d'un article de fond dans le numéro courant de la revue The New Yorker où  il ne lance pas de fleurs à ses anciens concitoyens. Voici un passage du reportage signé par Nick Paumgartner : «Zuckerman fait souvent allusion à l'antisémitisme 'épouvantable' du Montréal du milieu du siècle. Il m'a raconté que les garçons canadiens-français l'attiraient dans des guet-apens et lui lançaient des pierres et des insultes. 'C'est ainsi que je suis devenu le coureur le plus rapide à Montréal sur une distance de deux blocs', dit-il.»

P.S. : L'article du New Yorker sur Zuckerman n'est malheureusement pas en ligne.

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