Samedi, lors des caucus démocrates du Nevada, 64% des électeurs hispaniques ont voté pour Hillary Clinton, qui compte obtenir le même appui dans des États comme la Californie, le Nouveau-Mexique et l'Arizona, où des élections primaires auront lieu le 5 février. À la suite du scrutin du Nevada, je publiais ce billet dans lequel un homme affirmait que «les Latinos ne voteront par pour Obama». Le commentaire mettait en relief les tensions entre les Latinos et les Noirs dans certains États, une réalité qui pourrait avoir un impact déterminant sur l'issue de la course à l'investiture démocrate. Il y a un an, le Los Angeles Times publiait ce reportage sur ce sujet, dont voici un extrait :

Although some commentators have attributed the Latino hostility to African Americans to the stress of competition in the job market, a 1996 sociological study of racial group competition suggests otherwise. In a study of 477 Latinos from the 1992 Los Angeles County Social Survey, professors Lawrence Bobo, then of Harvard, and Vincent Hutchings of the University of Michigan found that underlying prejudices and existing animosities contribute to the perception that African Americans pose an economic threat - not the other way around.