Cet article publié aujourd'hui dans le New York Times décevra ceux qui croient reconnaître dans la situation iranienne la main de la CIA. On y apprend que la Maison-Blanche est obligée de se fier à Internet, Twitter et ses alliés qui ont des ambassades à Téhéran, dont la France et la Grande Bretagne, pour avoir une idée de ce qu'il se passe au sein du pouvoir et de l'opposition. La CIA fait de son mieux, mais les secrets de l'Iran ne sont pas facile à percer au temps des ayatollahs...